dimanche 25 mai 2008

Album

Suite à diverses demande, je me suis décidé à mettre quelques photos dans un album non public sur le web, pour permettre l'accès à qui connaît l'adresse (Cela veut dire que les photos ne sont pas accessibles depuis un moteur de recherche, elles sont seulement accessibles quand on connaît l'adresse).


Ceci dit, si quelqu'un veut que j'enlève une photo, je le fais immédiatement. Bon, c'est sûr que pour que j'enlève une photo, il faut une bonne raison et c'est difficile d'en trouver. Les excuses type: je suis gros, je perd mes cheveux, j'ai des rides, ..., ne sont pas valables. Dites-vous que tout le monde a déjà remarqué vos "petites" imperfections. De toute façon, je ne suis pas remonté plus haut que 2006, ça fait moins mal (pour le moment en tout cas).
L'adresse: http://picasaweb.google.es/[prenom].[nom] (remplacez quand même les braquets par mon prénom et mon nom avec un point entre les deux).

samedi 17 mai 2008

Communions

Je regardais les photos des deux dernières communions auxquelles j’ai eu la chance de participer et je me suis dis qu’en Belgique on ne sait quand même pas s’habiller. En effet, pour les communions en Espagne, les petits enfants qui ont la chance de pouvoir enfin communiquer avec notre Seigneur, seul et unique Dieu, s’habillent en conséquence.

Les communiants, en Espagne, ne s’habillent pas au moyen d’une bête bure de moine trop propre, mais bien de beaux atours dignes de la fête spirituelle à laquelle ils assistent (et ne me dites pas que les enfants attendent seulement des cadeaux, ce n’est pas vrai, je le sais, je suis passé par là).

Voici quelques exemples de costumes et robes, pour les filles, en robe de mariage princesse :


Pour les garçons, en amiral (ça je ne me l’explique toujours pas) :

C’est bien ces petites robes, ça excite la compétitivité des jeunes filles pour être la plus belle des princesses. Le problème c’est que ces jolis accoutrements ridicules coûtent jusqu’à 300 € et que toutes les familles ne sont pas d’accord pour gaspiller autant d’argent.

Esther en a encore un souvenir douloureux, quand les autres petites filles riaient de sa robe bon marché à 150 €, elle m’en parle encore.