Le retour

Après avoir passé deux semaines en Belgique, entourés d’un tas de petits enfants qui naissent ou grandissent, pleurent et rigolent (l’invasion totale), nous sommes revenus à notre train-train quotidien et aux joies du travail.

Le retour a été brutal, pendant mon absence le dénommé Alberto, un collègue, s’est fait virer 15 minutes avant de partir en vacances lui-même (style il va dire au revoir au chef avant de partir et ce dernier lui demande 5 minutes de son temps pour parler un peu : « C’est pas la peine que tu reviennes »). Ça m'a toujours épaté qu'il y ait le mot « humaine » dans « ressources humaines ».

Et je ne parlerai pas de nos clients français qui n'ont toujours pas compris qu'on est sensé sortir à 3 heures de l'aprèm en été.

Heureusement, le retour a été adouci grâce à des places loges tombées du ciel pour Real Madrid-Rosenborg (c'est bien d'avoir Florentino comme patron des fois).